punaise. on t'avait pourtant dit qu'il traînerait quelque part par là. dylan cet imbécile: ça fait déjà une semaine que tu es ici, mais y'a toujours ce con qui continue à te bizuter sans raison, à croire qu'il n'a que ça à faire de ses journées. courbée comme jamais, tu inspectes avec minutie et dynamisme chaque recoin du hangar à vélos. un hello! retentit alors de façon inattendue: sous la surprise, tu manques de te manger une bicyclette dans le dos. tu te retournes immédiatement pour t'assurer de n'avoir rien cassé ou fait tomber; à ton grand soulagement, tout était indemne. thanks lord.. souffles-tu en fermant les yeux, et te rappelles ne pas être seule: passant une main dans tes boucles, tes yeux noisettes viennent dévisager celui qui venait de perturber ta concentration assidue.
hi, finis-tu par lui adresser, légèrement irritée, avant de te questionner sur le propriétaire du vélo que tu venais de percuter il y a de ça deux minutes; s'il était à ce gars-là, tu risquais de te faire défoncer vu sa carrure. was it yours ? renchéris-tu plus timidement, en montrant du pouce la dite bicyclette qui se portait à merveille derrière toi.